DU BON MANGER (.CA), paradis du junkfood

DU BON MANGER (.CA), c’est la place ou tu peux trouver toutes les pires cochonneries imaginables, pas nécessairement attirantes, mais ô-combien divertissantes!

La maxime personnelle du blogueur derrière le site : Si c’est frit, c’est bon! (ça vous donne une idée). En fait, pour vous mettre en contexte, c’est le gars qui faisait la chronique culinaire de l’émission Boutique MC Gilles, émission d’ailleurs ô-combien regrettée (NOT). Le site est tout nouveau tout chaud, même pas un mois d’existence à l’heure ou on se parle.

DU BON MANGER (.CA) est tout récent, alors peu de contenu pour l’instant, mais ce sera à surveiller hehe!! D’ailleurs, cette semaine, semaine de la poutine, on a droit au test de la poutine, genre la poutine de dépanneur tout faite, à réchauffer. Tsé l’affaire qui nous intrigue tous mais qu’on a jamais osé acheter… Genre ça :

Moi j’ai un sérieux crush pour les bouchées de macaronis au fromage panées et frites! (tsé des bonnes choses ensemble ça peut pas être mauvais lolz)

La femme Y

J’ai remarqué que les filles de ma génération étaient toutes mêlées.

C’est beau l’image que ça m’amène, les femmes Y, avec 2 chemins possibles, 2 embranchements, une balance qui sait pas de quel bord pencher.

Belles, intelligentes, avec les moyens de leurs ambitions, mais sans trop savoir ou elles s’en vont.

C’est peut-être parce qu’on a longtemps voulu accéder aux mêmes droits que les hommes, aux mêmes postes, aux mêmes salaires, bref l’égalité des sexes. Peut-être aussi l’espèce de retour en force des valeurs familiales, genre il FAUT avoir des enfants, ne pas TROP travailler, all the kit.

On veut avoir le moyen d’acheter une paire de souliers à 500$, on veut être indépendante financièrement, se détacher de la dépendance pécuniaire à l’homme. Mais on veut que ça soit lui qui paie le champagne, et pas question qu’il nous refile la facture au restaurant.

On veut du flambloyant, du scintillant, de la poudre aux yeux. Mais pas trop tsé, on reste des femmes… Insécures à leurs heures… Éternel combat.

Ha pis fuck, on se tanne de tout en plus! On étudie dans un certain domaine, 1 an, 2 ans, pis on est tannées. On change, on essaie autre chose. Pourquoi pas?   (D’autant plus que l’on vit dans une société ou même l’éducation est servie sur un plateau restaurant en trio avec des belles grosses frites qui empêchent apparemment bien des gens d’allier deux mots sans faire une faute.) Même chose pour les hommes. Il y en a tellement sur la planète, pourquoi se faire chier avec un qui ne nous satisfait pas entièrement! Est-ce qu’on serait devenu à ce point dionysiaque que le bonheur nous échappe trop souvent au profit d’un plaisir grande surface?

Sans parler de la séduction. Si je te trouve cute, j’ai le droit d’aller vers toi mon homme. Mais tu m’offres quand même un cosmo-litchi (sans que j’aie besoin de le d’mander), right? Pis tu essaies pas de caresser furtivement mes fesses (À moins que je te l’ai demandé… Évidemment).

Pis le pire c’est que les gars qui nous entourent ramollissent tous! Le gars macho, qui semble traiter les filles comme dans les années 30, ben il nous attire, caline, que veux-tu, on se comprend pas ! Belle révolution les filles… Ou sinon, il y a le cultivé, celui avec qui on se verrait faire le tour du Vietnam, celui qui sent toujours bon, bien habillé, presque rasé (lol), qui te parle de ses lectures et qui aime le bon vin. Mais celui-là il est gay. Pis même s’il ne l’est pas… On reste bornée à se dire qu’il doit l’être, pareil, comme si le contraire était impossible.  »Ok, oui, tu m’aimes… Faque, on reste amis ? Hen ? ». Mentalité diamétralement opposée à nos idéaux concernant la gente masculine… Forcément !

Les filles sont toutes mêlées. Trop de possibilités je pense. Maintenant, elles peuvent être médecins, pilotes d’avions, écrivaines, avocates… Y’a comme une fierté qui vient avec toutes ces maudites possibilités-là. Une fierté ou une gêne, tout dépendamment de la hiérarchie sociale dans laquelle une femme se trouve ou du moins aspire à se trouver. Comme si c’était honteux, ga’, d’être massothérapeute, coiffeuse, responsable des tuxedos chez Moores (…). Y’a une pression sociale à savoir : Pouvoir, c’est ben beau, faudrait être capable de se brancher sur ce qu’on veut, par exemple.

Dire qu’à nos âges, nos mères, dans bien des cas, nous avaient déjà. La génération avant nous était l’embryon du monstre actuel, la naissance d’une majorité de femme d’affaires, femmes fortes, femmes de carrière, pas juste élever pour torcher de la marmaille. Comme si on devait le faire, parce que certaines avant nous on pas eu droit à ça, comme si on devait saisir cette chance. Mais nos mères, peut-être qu’elles aimaient ça rester à la maison? Pis personne les jugeait à l’époque.

La peur de passer à côté de sa jeunesse, alliée à celle de finir vieille fille. La phobie d’avoir 40 ans avant le temps, ou celle des chats en trop grand nombre, c’est selon.

Je conclurais en vous disant qu’il faut prendre ça avec légèreté… J’ai même cherché à vous sortir une chute marrante à la sauce  »convenue »… Sauf qu’en réalité, elle nous fait peur, ici, cette recherche d’une carrière et non pas d’une prison, d’une carrière qui représenterait réellement une valorisation personnelle versus gagner un salaire décent versus essayer d’aller faire du ski au moins une fois par année en famille.

On a peur, ici, de penser comme tout le monde; peur, même, de se mettre à ne plus penser du tout…

Les genoux égratignés et les joues toutes rouges d’avoir trop joué ou ben don’ Un titre trop long pour un post pas plusse de contenu qu’ça.

Se filmer en VHS entrain de boire de la slush rose et bleu Jack Daniels

(tsé avec des belles strates).

Graver des initiales même pas les nôtres sur des dessous de balançoires.

Écouter un livre dans l’char parké sur une piste d’atterrissage.

Se faire des tatouages à paillette et des morsures un peu partout su’l’corps.

Ou ben starter des feux juste pour le trip de les éteindre avant qu’ils deviennent ben trop gros pis qu’on capote un peu des éventuels représailles…

Tu commences-tu à comprendre l’adulte gouffre ? Moi oui.

Le petit prince était probablement un grand malade du cerveau.

One Kings Lane et la déco en ligne

Accro à la déco que je suis ces temps-ci, quel ne fut pas mon bonheur de découvrir le site One Kings Lane offrant de magnifiques articles de décorations, originaux et à bas prix!

En fait One Kings Lane c’est un espèce de Beyond the Rack For Home. Même genre de concept : inscription obligatoire au site, vente en ligne uniquement, évènements à durées déterminées, articles en quantité limitée…

Ma sélection hehe :

En passant, Beyond the Rack vend aussi des articles pour la maison, souvent ben cute.

Par exemple :

Bon magasinage!

Ces messieurs à cravate

Comme on est 2 à travailler ou à avoir déjà travaillé dans une mercerie, on s’est dit que ce serait bien de démystifier cet univers de messieurs chics, de boutons de manchettes et de cravates de soie. Parce que s’habiller pour une femme, c’est compliqué, mais pour un homme aussi vous verrez…

Smoking ou complet

Demandez-vous si l’évènement requiert le chic absolu ou s’il ne s’agit que d’une entrevue d’emploi. Le smoking, avec son revers satiné  est bien entendu plus élégant que le complet mais pas ‘tout le temps’ approprié. Souvent, on le reconnait à sa ligne satiné sur les pantalons qui vient s’agencer avec le col du veston. Le complet, plus simple, est plus prisé pour le casual, travail, soirée mondaine, etc. Pour les mariages, on fait un effort et on se procure un tuxedo, right ?

La matière

Ça a l’air de rien, messieurs, mais choisir une matière qui respire bien (un veston 100% laine tissée finement par exemple) plutôt qu’un tissu synthétique fait toute la différence tant au niveau du toucher qu’à l’allure globale de votre costume. Un 100% laine paraîtra 1000 fois plus lustré et vivant qu’un synthétique. D’autant plus qu’il y a bien moins de chance pour que vous mourriez de chaleur lors de l’événement qui vous a convaincu de mettre votre plus beau kit. Le chic, c’est aussi le confort (mais on en reparlera parce que c’est pas mal juste pour la matière qu’il est question de confort dans le choix d’un habit).

Les mesures

Il est essentiel de faire prendre ses mesures au moment de choisir son costume pour la simple et bonne raison qu’on veut qu’il soit par-fait (au prix qu’on le paie !). Votre physionomie fera pencher vers le veston ‘fit’ très cintré si vous êtes super élancé ou vers un complet moins ajusté dans le cas contraire. Les épaules et la longueur de la manche sont les premiers indicateurs fiables au moment de vérifier les grandeurs. N’oubliez pas que pour la chemise, messieurs, il est très important que le col vous empêche de respirer (hahaha un doigt entre le collet et votre cou, plus que ça, vous êtes dans l’champ). Suite à ça, vous pourrez vous questionner également à savoir si vous êtes plutôt fait pour le veston un/deux/trois boutons et s’il vous serait préférable d’y aller avec les pantalons à plis français ou au pli unique. Encore une fois, il s’agit de connaître votre physionomie. Le deux boutons est le modèle le plus souvent opté parce qu’il sied bien au taille régulière. Le un bouton permet d’allonger la silhouette pour les hommes de petite taille et le trois boutons, plus fermé, a l’inconvénient de cacher la petite veste mais pourrait être conseillé aux géants, tsé. Les plis français sont souvent nécessaires pour les hommes plus robustes mais pas du tout conseillé pour un aspect ”au goût du jour”.

Les couleurs et l’agencement

De grâce, évitez donc de vous marier dans le crème ou le ivoire. Ou bien alors, passez le mot à tout le monde que la chemise doit être de cette couleur, ce serait horrible si, par malheur, un de vos invités portait la chemise blanche, vous auriez tous l’air d’avoir des ensembles jaunis par sa faute (qui sera votre faute aussi en passant) Vos photos devrait alors être toutes converties au noir et blanc, croyez-moi. Oh ! Le crème et le gris, ça passe. Rajouter le moindre effet métallique genre ‘argent’, vous êtes FAIT. À noter que je ne blague même pas ici. Bon, maintenant qu’on a parlé mariage, quelques conseils niveau casual. Le complet brun ou kaki, messieurs, c’est très bien si vous avez plus de 40 ans, c’est affreux dans le cas contraire… de mon humble avis. À moins que vous optiez pour le veston sport uniquement… à marier avec un jean, dans pareil cas, ça va, vous êtes dans la bonne voie.

Les bijoux

Nous, les dames, avons quantité inépuisable de bijoux et accessoires. Pour les hommes, c’est plus limité. Optez pour la pince à cravate pour son côté pratique et chic. Votre cravate tiendra en place et on verra scintiller un petit quelque chose au premier bouton du veston, c’est très bien. Ajouter une montre, on est en business. D’autre part, les boutons de manchettes… il n’y a pas vingt deux milles manière de porter des boutons de manchette, clair ? D’abord, il est impérial de sélectionner un ‘chemise de smoking’ pas une chemise régulière pour en porter sinon c’est raté. Ensuite, on pince la chemise et on passe le bijou bord-en-bord du poignet, on essaie pas de plier la manche dans tous les sens pour essayer de lui donner un aspect plus régulier sinon ça vaut pas le coup, on se comprend bien ? En plus, le bouton risque juste de vous appuyer contre l’os du poignet, inutile de se rendre plus mal à l’aise qu’il ne le faut, c’est déjà assez difficile de se sentir bien dans un complet comme ça. Portez les bretelles ou choisissez une ceinture à belle boucle, vous aurez mes compliments.

Le look

Ce qu’on doit se rappeler donc, c’est qu’on porte un smoking ou un complet pour le look, pas pour le confort. Si vous voulez être confortable, messieurs, attendez le dimanche et vos éternel bas de pyjama ou jogging gris. Vous serez chic, vous serez beau, vous ne serez très certainement pas ‘bien’, oubliez ça d’emblée.

Les faits cocasses ?
Quand vous entrez dans une boutique pour une location de tuxedo et que vous apporter toute la famille, vous faites vivre un enfer à celle qui devra vous conseiller. Si c’est pour un mariage gai… Cibole, arrêtez de faire des farces pas drôles pour rendre la responsable mal à l’aise, on est pas là pour juger de votre position mais pour sélectionner le kit parfait pour l’heureux jour, ok ? Oh et : Inutile de rappeler au magasin pour connaître l’âge, le nom et la situation matrimonial de la petite conseillère, c’est juste ben ben awkward pour elle et pour vous…